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Jean-Pierre Plancade présente les « voitures volantes » à Toulouse

Jean-Pierre Plancade présente les « voitures volantes » à Toulouse | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it
Lundi matin, le sénateur candidat Jean-Pierre Plancade a présenté son projet futuriste de « voitures volantes » à Toulouse. Accompagné de l’Américain Jerry Sanders, CEO de l’entreprise Skytran, il a détaillé les modalités de ce moyen de transport inédit en France. Voire au monde.

Skytran, entreprise privée américaine partenaire de la Nasa, travaille depuis dix ans sur ce projet. A l’heure actuelle, Tel Aviv, Netanya (Israël) et Kerala (Inde) étudient sa mise en place dans leurs rues, ou plutôt dans leur ciel. Mais il n’a encore jamais été réalisé nulle part. Pour le candidat à la mairie de Toulouse, Jean-Pierre Plancade, l’implantation de ces « voitures volantes », comme il les appelle, témoigne d’un « changement de conception des transports en commun, car il s’agit d’un transport collectif individuel. » Concrètement, le Skytran se compose de cabines contenant 2 à 4 personnes, sur rail aérien et fonctionnant par électromagnétisme. La vitesse moyenne avoisinerait les 100 km/heure et la « voiture » ne s’arrêterait sous aucun prétexte, car une deuxième ligne est prévue en cas d’incident ou d’arrêt à une station. D’un point de vue pratique, le Skytran est extrêmement séduisant, «il est possible de réserver sa cabine via un smartphone, dès que l’on part de chez soi », détaille le candidat, puis de laisser sa voiture au parking de la station. Comme il sera intégré à Tisséo, le tarif du voyage s’alignera sur le métro et le tram. Ce mode de transport est en outre écologique : «Il utilise l’énergie de deux sèche-cheveux », révèle Jerry Sanders.

« Non, vous ne rêvez pas, c’est réalisable »

A Toulouse, Jean-Pierre Plancade prévoit l’installation de ce système sur les « 40 km du périphérique», avec comme objectif de « capter 20% du trafic ». En d’autres termes, les « voitures volantes » s’arrêteraient aux portes du centre-ville, en reliant les villes de la banlieue toulousaine au métro. La question qui brûle les lèvres est celle du coût. Jean-Pierre Plancade annonce un programme en matière de transport ambitieux, avec notamment la construction d’une troisième ligne de métro « et la préparation d’une quatrième. » Connaissant le déficit de Tisséo, le projet est-il viable ? « Un km de métro coûte 90 millions d’euros, un km de tramway, 25 millions, un km de BHNS (Bus Haut Niveau de Service), 10 millions et un km de Skytran, 5 millions (7 millions selon le document transmis par Jerry Sanders) », répond le sénateur PRG. Sachant qu’une voiture coûte environ 20 000 euros. Si Jean-Pierre Plancade est élu, il lancera donc un appel d’offre pour la réalisation de ce projet. Ce ne sera pas « forcément un système Skytran » mais de « type Skytran », qui verrait le jour à Toulouse. Cela pourrait impliquer l’acquisition d’un brevet, « et on pourrait même percevoir des royalties dessus ! », s’emballe le candidat. L’objectif serait d’assembler les voitures sur Toulouse, avec des pièces importées des Etats-Unis et de Suède notamment. L’activité créerait entre « 3000 et 5000 emplois », selon lui.


Dans ce contexte électoral, où la surenchère des propositions est de mise, on pourrait d’embler ranger ce projet dans la case « extravagance de campagne », mais Jean-Pierre Plancade ne se laisse pas démonter : « Non, vous ne rêvez pas, c’est réalisable. A Toulouse, on sait construire des satellites et des systèmes embarqués, ce transport représente le savoir-faire de la ville. » Une question demeure néanmoins. Pourquoi ce projet imaginé depuis une décennie par la recherche américaine n’a-t-il jamais été réalisé aux Etats-Unis ? « Les avocats américains sont très procéduriers, certains attaquent systématiquement tous les nouveaux projets pour les retarder. C’était une volonté de Skytran de ne pas commencer l’exploitation de ce système aux Etats-Unis », avance Jerry Sanders, lui-même avocat.


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Municipales à Toulouse : entrepreneurs, ils se présentent sur la liste de Jean-Pierre Plancade

Municipales à Toulouse : entrepreneurs, ils se présentent sur la liste de Jean-Pierre Plancade | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Jean-Pierre Plancade, candidat sans étiquette aux élections municipales à Toulouse, fait du commerce en centre-ville une de ses priorités. En témoignent les entrepreneurs présents sur sa liste, qui sera dévoilée demain, mercredi 29 janvier. Parmi eux, Gérard Trullen, directeur général de l’imprimerie Chabrillac et trésorier de la CCI de Toulouse.

Dans la course au Capitole, Jean-Pierre Plancade avance tranquillement. Crédité de 1 % d’intentions de vote dans le dernier sondage BVA pour Le Parisien mi-janvier, le sénateur de Haute-Garonne ne s’émeut pas : "qu’on me laisse tranquille, dit-il, on verra le résultat dans l’urne". En attendant, le candidat peaufine son programme et sa liste. Au cœur de ses propositions : lutter contre "la désertification" du centre-ville, et faire de Toulouse "une ville 3.0". Cinq entrepreneurs figurent sur sa liste.

"Un homme avant d’être un politique"
Tête d’affiche des entrepreneurs qui soutiennent Jean-Pierre Plancade, Gérard Trullen, patron de l’imprimerie Chabrillac, estime qu’ "il est temps, dans cette période difficile, de confier l’économie à des gens qui ont l’habitude de gérer". Déçu des hommes politiques, le trésorier de la CCI accorde une grande importance au fait que Jean-Pierre Plancade soit sans étiquette : "il n’est soutenu par aucun parti, et ça change tout, il peut proposer des idées à ses concitoyens, en totale indépendance." Un avis partagé par un autre co-listier, Christian Belloc, coiffeur aux Carmes et président de la Confédération nationale des entrepreneurs : "Jean-Pierre Plancade, au delà de l’étiquette politique, est avant tout un homme qui aime sa ville, c’est cela qui m’a séduit." Idem pour Marc Vieuxloup, vice-président Commerce de la CGPME 31 : "je n’ai jamais fait de politique, je le suis pour la personne qu’il est."

Pour le commerce en centre-ville
Maintenir le commerce en centre-ville : c’est la priorité de Marc Vieuxloup et Christian Belloc. "Les différents maires de droite ou de gauche n’ont rien fait pour le commerce indépendant du centre-ville, à part des mesures esthétiques. Aujourd’hui, il y a à Toulouse des friches commerciales comme à Compans Caffarelli", dénonce Christian Belloc. En cause, les loyers. "Ils sont hors de prix, regrette Marc Vieuxloup, mais le maire, malheureusement, ne peut pas tout faire." L’entrepreneur prône notamment l’augmentation du nombre de places de parking proches du centre-ville. "Les transports publics, c’est bien, mais au final, personne ne prend le tram. Il ne s’agit pas de faire revenir toutes les voitures en centre-ville, mais de permettre un accès facilité."

Jean-Pierre Plancade propose d’augmenter le nombre de navettes centre-ville pour compenser la restriction de l’accès aux voitures. Son objectif : ramener la convivialité en centre-ville. "Il n’y a plus personne rue Alsace-Lorraine après 19h ! Il faudrait y mettre des restaurants, détaille-t-il, et pratiquer la préemption, pour imposer des loyers maîtrisés." La restauratrice Rachida Portex (restaurant Les Deux Pachas, avenue Honoré Serres), figure également sur la liste du candidat pour porter le message de la sauvegarde du centre-ville.

À noter que la municipalité actuelle utilise son droit de préemption urbain. Les quartiers Arnaud-Bernard, Pargaminières /Romiguières et Bayard / Belfort sont les premiers concernés par ce dispositif juridique, doté d’1 M€ par an, et qui permet à la mairie d’acheter des murs commerciaux -ou d’un immeuble entier- pour favoriser une mixité commerciale.

Gérard Trullen, "pour l’emploi"
Le trésorier de la CCI est la seule personne que Jean-Pierre Plancade a sollicitée. "Je suis allé le chercher, car c’est un entrepreneur qui gère une imprimerie de plus de 600 salariés, qui connaît toutes les problématiques de l’entreprise, dans un secteur difficile, puisque l’on va vers la disparition du papier." Gérard Trullen participe avec sa tête de liste à élaborer un programme "sur l’urbanisme, le social, et l’innovation". Il milite notamment pour une extension des horaires de crèches afin de faciliter l’accès au monde du travail. "Nous n’allons pas proposer une révolution, mais des choses pragmatiques, efficaces."

Bernard Farjounel, gérant de l’entreprise Les Aménageurs réunis soutient également Jean-Pierre Plancade, dont le programme sera dévoilé en février. Le candidat laisse déjà entrevoir quelques pistes. "Je souhaite booster les secteurs de l’informatique, de la santé et de l’agroalimentaire, pour préparer la diversification de l’économie locale, centrée sur l’aéronautique. Je veux également faire de cette ville une ville connectée, avec, par exemple, une application smartphone pour savoir où se garer. Je veux préparer non pas le Toulouse de demain, mais le Toulouse d’après-demain." Jean-Pierre Plancade le promet : ses propositions seront innovantes.

Sophie Arutunian

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Jean-Pierre Plancade « La défiance vis-à-vis des élites est une réalité »

Jean-Pierre Plancade « La défiance vis-à-vis des élites est une réalité » | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Depuis son QG installé dans le quartier Saint-Cyprien, le sénateur vient de démarrer réellement sa campagne. Entouré d’une équipe diverse politiquement, il trace son sillon pour ouvrir une « troisième voie » qui vise à défier les gros partis en place.

Comment percevez-vous le tournant social-démocrate de François Hollande ?

Le Président ne fait qu’appliquer un principe mitterrandien : « On gagne une élection à gauche, mais on gère le pays au centre. » Je me réjouis de l’évolution de sa pensée mais a-t-il la stabilité psychologique nécessaire pour maintenir le cap ? Je m’interroge.

Quelle est votre analyse du dernier sondage paru sur l’élection municipale toulousaine ?

Me concernant, je n’y vois rien de surprenant, car nous venons tout juste de démarrer notre campagne. Je ne m’y suis véritablement impliqué qu’à partir du moment où j’ai eu la certitude que ma liste était complètement bouclée… Pour le reste, j’avoue être très étonné car il n’est pas le reflet de ce que j’entends sur le terrain. Il y a en réalité un rejet massif du maire sortant et une interrogation très profonde sur la capacité du candidat UMP à gérer notre ville demain alors qu’il ne l’a pas fait hier. Par ailleurs, je pense que ces sondages n’ont plus l’influence qu’ils avaient auparavant sur le comportement électoral du citoyen. Tout le monde a compris qu’il y avait une alliance objective entre les médias et la classe politique… Et la défiance vis-à-vis des élites est une réalité, à Toulouse comme ailleurs.

Qu’est-ce qui va faire l’originalité de votre liste ?

Elle est avant tout sans étiquette, libérée des carcans politiques et composée d’hommes et de femmes libres. Ils sont tous issus de la société civile, la vraie ! Des hommes et des femmes qui se lèvent tôt le matin et qui travaillent dur. Mes colistiers ont compris l’urgence de prendre en charge eux-mêmes les affaires de leur ville, sans passer par le filtre épais des appareils politiques.

On a beaucoup parlé du projet de troisième ligne de métro, mais sur le fond, pourquoi faut-il selon vous privilégier le métro au tramway ?

La réalité est que le tramway roule à 17 km/heure avec une rame toutes les sept minutes. Le métro roule lui à 40 km/heure avec une rame toutes les minutes. Cela ne souffre donc d’aucune comparaison. Il faut aussi signaler que l’exploitation d’un tramway coûte deux fois plus cher que celle du métro, qui est le seul mode de transports en commun où l’on fait des bénéfices en exploitation. Tout le reste, bus comme tramway, est déficitaire en exploitation. Il faut savoir dire la vérité : investir dans le métro est une nécessité.

Pierre Cohen a mis sur la table la question de la limitation de la vitesse sur la rocade à 70 km/heure…

Franchement je ne crois pas que cela soit la meilleure des solutions pour régler le problème de la pollution à Toulouse. D’ailleurs la question est très controversée dans d’autres villes… A l’occasion de la parution de mon programme, j’expliquerai pourquoi et comment nous pouvons réguler la pollution dans cette ville.

Airbus vient d’annoncer des records en termes de commandes, mais Toulouse n’est-elle pas trop dépendante de l’industrie aéronautique ?

Je me réjouis de ces commandes pour notre métropole, notamment en matière d’emplois. Mais je pense aussi qu’il est urgent de diversifier notre économie pour préparer l’avenir. Il y a eu une timide tentative avec l’Oncopôle, il faut maintenant aller plus loin et j’ai des idées fortes. Demain Airbus pourrait être amené notamment à délocaliser n’importe où dans le monde. Regardons par exemple ce qui se passe avec la Chine qui passe des commandes certes, mais qui demande surtout à ce que la production se fasse chez elle. Il est donc urgent d’anticiper les choses, et c’est au maire d’impulser la dynamique.

Dieudonné est toujours prévu pour le 22 février prochain à Toulouse. Quel est votre sentiment sur toute cette affaire ?

Dieudonné M’bala M’bala est le révélateur d’un profond malaise que traverse la société française. Il faut analyser la situation sans se cacher les yeux. Depuis le début de l’affaire, j’ai demandé l’interdiction du spectacle de Dieudonné, et je me réjouis donc de la récente décision du Conseil d’Etat. Son message est profondément antisémite et raciste. Ce n’est d’ailleurs plus un humoriste, c’est avant tout un militant politique.

 

Propos recueillis par Thomas Simonian

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Transports : la liste au père Noël

Transports : la liste au père Noël | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it
Les candidats au Capitole rivalisent d'imagination pour développer les transports en commun. Du retour du métro au « tram aérien », revue de détail des propositions déposées au pied du sapin.

 

Gratisséo

Sans tambours ni trompettes, le tramway de Toulouse a repoussé son terminus de la gare des Arènes au palais de Justice le 20 décembre dernier. Ni discours, ni fanfares ou petits-fours. Contrairement à l’inauguration de novembre 2010, repoussée au 10 décembre en raison d’une grève des traminots de Tisséo, l’extension de 3.400 mètres de l’unique ligne de tram de l’agglomération s’est effectuée en toute discrétion. Du vendredi au dimanche, 66. 772 passagers ont emprunté les rames selon les chiffres de Tisséo. La régie des transports de l’agglomération offrait des tickets gratuits pour l’occasion.

Sellin dénonce « la répression syndicale »

Jean-Christophe Sellin aussi. Le candidat du Parti de Gauche et ses amis en ont profité pour rappeler la mesure-phare de leur programme en distribuant de leur coté des tracts en forme de tickets « Gratisséo ». Avec Myriam Martin, sa colistière issue des rangs du NPA, ils dénoncent au passage « la répression syndicale » qui aurait dissuadé les employés de Tisséo de suivre le préavis de grève déposé de longue date par les syndicats Sud et Force Ouvrière. Ancien cheminot CGT et co-listier (PCF) de Pierre Cohen, Bernard Marquié justifie au contraire la plainte déposée contre l’opération-commando qui avait bloqué le premier essai du tram, assortie de pénalités financières en cas de récidives.

tram « socialiste » contre métro « centriste » : le match retour de 1883

L’extrême-gauche n’est pas la seule à avoir tenté de mettre des bâtons dans les roues du tram. Jean-Luc Moudenc a saisi l’occasion du passage très symbolique des rames sur la rive droite de la Garonne pour siffler un brutal coup d’arrêt au tramway. Le candidat de l’UMP a dégainé un projet de troisième ligne de métro pour desservir à la fois les usines d’Airbus, l’aéroport de Toulouse-Blagnac, la gare Matabiau, le futur aérocampus de Montaudran et les bureaux de Labège. Baptisée ligne « Aérospace », ce nouveau métro de 20 kilomètres viendrait se substituer au prolongement de la ligne B qui a fait couler tant d’encre entre la communauté urbaine de Toulouse-métropole et la communauté d’agglomération du Sicoval. Si Ramonville resterait un terminus du métro, le tram n’ira pas plus loin que le carrefour saint-Michel à Toulouse. Après avoir enrôlé sur sa liste Frédéric Brasilès, le photographe des allées Jules Guesde qui a livré bataille contre le passage des rails du tram devant sa boutique, l’ancien maire entend porter un coup fatal à la « ligne canal » défendue par Pierre Cohen. On s’attendait au match retour Cohen/Moudenc, nous voila replongé dans le combat de 1983 entre le tramway « socialiste » de Gérard Bapt et le métro « centriste » de Dominique Baudis !

Plancade : Toulouse n’est pas une ville pour le tramway

La paternité de l’annonce surprise de cette nouvelle ligne de métro, non inscrite au plan des déplacements urbains (PDU) à l’horizon 2030, a aussitôt été contestée par Jean-Pierre Plancade. Le sénateur PRG dissident, qui entend bien s’immiscer en « candidat libre » dans le duel annoncé entre le PS et l’UMP, accuse l’équipe Moudenc d’avoir vulgairement copié le projet d’un étudiant de l’institut d’études politiques de Toulouse (pdf). Théâtral, il propose même de donner le nom du jeune Maxime Lafarge à l’une des stations du futur métro. Sur le fond, Jean-Pierre Plancade s’approprie à son tour le choix des rames de métro plutôt que du tram. « Toulouse n’est pas une ville faite pour le tramway », affirme l’ancien président du syndicat mixte des transports en commun. Démis de ses fonctions pour avoir soutenu la délégation de service public à une filiale de Véolia alors que le président (PS) du département donnait raison aux élus écologistes et communistes prônant la régie des transports publics, le conseiller général de Bonnefoy promet « d’autres propositions qui paraîtront exagérées pour certains » dès janvier.

Plein la hotte

Il est vrai que l’extrême variété des projets proposés par les différent(e)s candidat(e)s pour résoudre les problèmes de transports dans l’agglomération commencent à ressembler aux listes envoyés par les enfants au père Noël. Christine de Veyrac (UDI) propose d’ériger un « tram aérien » le long du canal pour desservir Matabiau avec des cabines de téléphérique similaires à celles promises en 2017 pour grimper à Pech David par un Pierre Cohen, inattendu disciple de Philippe Douste-Blazy sur ce sujet. Elisabeth Beleaubre, qui a quitté les Verts pour rejoindre Corinne Lepage, espère faire acheter les « microbus » qu’elle a vu à Cuba par centaines dans l’entre-deux tours au maire sortant… N’en jetez plus, la hotte est pleine.

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Municipales à Toulouse : le PRG apporte son soutien à Cohen et lâche Plancade

Municipales à Toulouse : le PRG apporte son soutien à Cohen et lâche Plancade | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Pierre Cohen et Jean-Michel Baylet, président du PRG, lors de la campagne municipale de 2008

 

Dans un communiqué, le PRG apporte son soutien au maire sortant PS de Toulouse Pierre Cohen pour les prochaines municipales et lâche le sénateur (en congé du PRG) Jean-Pierre Plancade qui veut lancer sa propre liste.

 

Le Parti Radical de Gauche (PRG) apporte officiellement son soutien à la liste que conduira le maire PS sortant de Toulouse Pierre Cohen aux élections municipales des 23 et 30 mars prochains. 

Dans un communiqué, le PRG confirme la négociation d'un accord politique avec le Parti Socialiste pour les prochaines municipales à Toulouse. D'après nos informations, cet accord prévoit 5 places éligibles aux membres du PRG sur la liste de Pierre Cohen. 

Le texte du communiqué signé par Jean-Michel Baylet : 

Le Bureau national du 6 novembre a pris acte que Jean-Pierre Plancade sénateur de Haute- Garonne  souhaitant  se présenter aux municipales à Toulouse, il ne peut se prévaloir du soutien du PRG. Le Parti radical de Gauche soutient Pierre Cohen candidat socialiste aux élections municipales à Toulouse et demande que les  négociations entre le PRG et le PS avancent positivement pour la composition de sa liste."

Le PRG prend ainsi ses distances avec la candidature de Jean-Pierre Plancade. Le sénateur (ex-PS) de Haute-Garonne, inscrit au PRG, s'est mis en "congé" de son parti lors de son annonce de candidature à la mairie de Toulouse il y a quelques semaines. 

Le Parti radical de gauche faisait déjà partie de la "coalition" des forces de gauche sur la liste de Pierre Cohen, lors de la victoire du candidat socialiste en 2008. D'autres membres de cette majorité sortante ont fait le choix de listes autonomes pour les municipales de 2014, notamment Europe-Ecologie-Les Verts ou le Parti de Gauche. 

Jacques Le Bris's insight:

 

[Note du Curateur] cette opération de communication soudaine peut avoir été déclenchée suite à ce sondage en ligne (contraire aux voeux exprimés par le JDD) :

http://www.lejournaltoulousain.fr/sondages

 

Ce sondage a été clos car trop éloigné des sondages commandités par l'oligarchie dominante.

 

 

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Le sénateur Jean-Pierre Plancade est candidat à la mairie de Toulouse

Le sénateur Jean-Pierre Plancade est candidat à la mairie de Toulouse | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Le sénateur PRG de Haute-Garonne est candidat à la mairie de Toulouse pour proposer "une troisième voie" aux Toulousains.

 

Ce vendredi 18 octobre, Jean-Pierre Plancade va annoncer sa candidature à la mairie de Toulouse lors des élections municipales de mars 2014.

« Je sens peu d’enthousiasme pour Pierre Cohen et, chez ceux qui n’ont pas envie de prolonger son bail au Capitole, tout aussi peu d’enthousiasme pour Jean-Luc Moudenc… Je veux apporter une troisième voie aux Toulousains« , annonce à Voix du Midi  le sénateur PRG de Haute-Garonne et conseiller général du canton Toulouse-6, Jean-Pierre Plancade.

« Libre et indépendant et de gauche»

(...)

Jacques Le Bris's insight:

La candidature de Jean-Pierre Plancade est la quatrième à gauche après celles déclarées par Pierre Cohen (PS), Jean-Christophe Sellin (Parti de gauche), Michèle Bleuse et Antoine Maurice (EELV).

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Liste Plancade

C'est une réponse à ceux qui pensaient que le sénateur de la Haute-Garonne (ancien membre du PS et actuellement en congé du Parti Radical de Gauche) ne parviendrait pas à constituer une liste de 69 noms. Jean-Pierre Plancade a présenté ce mercredi matin la liste de ses colistiers pour les élections municipales de Toulouse des 23 et 30 mars prochain. 

Une liste "apolitique" constituée principalement de personnalités de la "société civile". C'est Lidia Arroyo, une dirigeante d'entreprise de 48 ans qui figure en seconde position. On y trouve aussi Jean-PIerre Baux ancien patron d'unité de CRS ou l'ancienne championne de boxe thaï et médiatrice dans les quartiers, Sonia Guillemet qui précise avoir été séduite par l'argument de rejoindre le tête de liste en "conservant mes convictions" et pas seulement pour sa couleur de peau, son passé de sportive ou son statut dans les quartiers populaires.

A la tête de cette liste nommée "Airmer Toulouse", "indépendante des partis politiques", Jean-PIerre Plancade indique que "la 4ème ville de France ne se situe pas à droite ou à gauche, elle est devant". Même s'il a fait campagne pour Pierre Cohen en 2008 et qu'il affirme avoir voter pour le maire sortant PS, Jean-Pierre Plancade affirme aujourd'hui avoir été "déçu" par les six ans de mandat. Il renvoi dos à dos PIerre Cohen "qui décide seul de tout" et Jean-Luc Moudenc "qui veut nous faire croire qu'il va faire demain ce qu'il n'a pas fait en 25 ans". 

Une liste "de Toulousains, au service des Toulousains" avec, selon Jean-Pierre Plancade, comme double objectif de conjuguer le local ("s'occuper du quotidien de nos concitoyens, pour que les Toulousains puissent vivre tranquillement dans leur quartier") et l'international ("les notions de patrie ou de frontières s'estompant avec internet et les nouvelles technologies", le candidat estime que ce sont les villes et les métropoles qui constituent l'avenir).

Jean-Pierre Plancade veut que Toulouse soit "un phare" qui éclaire le sud de l'Europe entre golfe de Gascogne et Méditerranée. 

Les colistiers et le tête de liste ont fait preuve d'un réel optimisme politique : convaincus de gagner les élections municipales, loin des prévisions des sondages, notamment le BVA pour Le Parisien/France Inter, qui crédite la liste de Jean-PIerre Plancade d'un score de 1 %.
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Portrait JP Plancade France 3 de Pascale Lagorce

Publiée le 19 janv. 2014

Portrait de Jean-Pierre Plancade par France 3 Toulouse de Pascale Lagorce

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[Tribune] Jean-Pierre Plancade : « Ils aiment Le Capitole, nous, nous aimons les toulousains »

[Tribune] Jean-Pierre Plancade : « Ils aiment Le Capitole, nous, nous aimons les toulousains » | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it
Le mandat du Maire actuel, qui s’achève, me laisse une impression plus que dubitative. Ce qui caractérise par delà les quelques réalisations bien normales qu’un maire peut inscrire dans son mandat, même si non ne partage pas certains choix : la minéralisation de la ville qui a fait perdre à Toulouse son authenticité, le tracé du tram, la densification à outrance qui chasse les classes moyennes de notre ville et l’évident sectarisme et autoritarisme dans lequel  s’est enfermé le Maire de Toulouse.

 

C’est regrettable pour Toulouse parce qu’il la prive des ressources intellectuelles bien réelles qui font la richesse de notre ville.

Le Maire actuel a oublié que l’anagramme du mot « Maire », c’est le verbe aimer. Manifestement, il n’aime pas les toulousains qui le ressentent bien.

En ce qui concerne la liste que j’ai l’honneur de conduire « AIMER TOULOUSE » avec mes colistiers, femmes et hommes libres, tous issus de la société civile, nous voulons d’abord rappeler aux Toulousains que ce sont eux qui font battre le cœur de la métropole.

Ensemble nous souhaitons le meilleur pour cette ville : l’emploi, la sécurité, les déplacements, l’environnement et l’éducation.

Nous pensons que la première des libertés de chaque individu, c’est sa sécurité. Cet objectif est une priorité pour nos enfants et pour nos familles. La ville de demain doit être sécurisée, propre et fluide.

Nous voulons également que les toulousains qui le souhaitent puissent accéder à la propriété « Vivre et Travailler à Toulouse ». C’est un objectif réaliste et réalisable.

L’autre priorité c’est les déplacements. Il faut que nos concitoyens puissent se déplacer facilement d’un lieu à un autre. Cela va nécessiter des investissements importants mais indispensables si on veut mettre Toulouse au niveau européen que nous réaliserons sans augmenter l’impôt.

L’emploi : Nous devons absolument ne pas rester dans la mono-industrie AIRBUS mais diversifier. Je ferai des propositions extrêmement pertinentes pendant la campagne.

Sans oublier bien sûr, l’éducation, la culture et le sport qui restent trois axes importants et qui sont au cœur de mes préoccupations depuis longtemps.

Pour conclure : la seule préoccupation qui guide l’ensemble de mes colistiers et moi-même, c’est le bien être des toulousains car encore une fois, ce principe demeure dramatiquement vrai : « Ils aiment Le Capitole, nous, nous aimons les toulousains ».

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Plancade inaugure sa permanence et clarifie les choses sur la 3e ligne de métro

Plancade inaugure sa permanence et clarifie les choses sur la 3e ligne de métro | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Samedi dernier, le sénateur candidat aux municipales Jean-Pierre Plancade a inauguré sa permanence de campagne, rue Etienne Billières, en plein cœur du quartier St Cyprien. Il était accompagné pour l’occasion de l’étudiant Maxime Lafage, auteur d’un projet de 3e ligne de métro, dont le contenu aurait été spolié par Jean-Luc Moudenc. Le jeune homme s’est expliqué.

« Rendre à Maxime ce qui est à Maxime. » Tel était l’objectif de la conférence de presse organisée avant l’inauguration. La semaine dernière, l’annonce du candidat UMP Jean-Luc Moudenc, sur la réalisation d’une 3e ligne de métro à Toulouse  a fait le buzz. Car son projet reprend les grandes lignes de l’étude conçue par Maxime Lafage en 2011 . L’étudiant l’avait envoyé alors, à tous les responsables politiques de Toulouse. Il a même rencontré certains élus et cadres de Tisséo pour affiner son projet. En novembre dernier, « j’ai été contacté par Jean-Pierre Plancade pour parler de mon étude, et j’ai accepté de travailler avec lui », raconte Maxime Lafage, « j’ai été relativement surpris lors de l’annonce de Jean-Luc Moudenc. Je ne suis pas gêné qu’il porte l’idée d’une 3e ligne, mais de la manière dont il a utilisé mon travail. Lors de notre rendez-vous, il m’a mis devant le fait accompli. » Maxime Lafage ne sait pas encore s’il sera colistier de Jean-Pierre Plancade, « j’y réfléchis mais je le soutiendrai dans tous les cas», affirme-t-il. « Il est le bienvenue, c’est à lui de décider », estime le candidat. L’étudiant devrait clarifier sa position d’ici début janvier.

Une station de métro pour saluer la jeunesse toulousaine

Le sénateur a également profité de ce point presse pour faire une promesse… Celle de donner le nom de Maxime Lafage à l’une des futures stations de cette fameuse troisième ligne de métro, « non pas pour lui, mais pour le symbole. Il s’agit d’envoyer un message positif à la jeunesse toulousaine, de lui faire confiance, de montrer qu’il y a des politiques qui savent encore écouter les plus jeunes. » L’étudiant à Sciences-Po a présenté son projet qui a été, depuis la première version en 2011, retravaillé. « J’ai pris en compte le prolongement du tramway, et contrairement au projet de Jean-Luc Moudenc, cette 3e ligne de métro s’intègre complètement dans le PDU de 2012 », explique-t-il. Le tracé qui part de Saint-Martin-du-Touch relierait Malepère, en 25 minutes, « avec une connexion à Marengo et une à Jeanne d’Arc. » Jean-Pierre Plancade s’est déclaré « partisan d’une 3e ligne de métro » en avançant que « Toulouse, avec ses rues étroites, n’est pas une ville faite pour le tramway. » En revanche, il précise que ce ne sera qu’une partie d’un « projet plus global sur les transports. », lequel sera révélé en janvier. Quant au projet de seconde rocade là aussi avancé par le candidat Moudenc, Jean-Pierre Plancade a été très clair : « C’est une idée du passé ! » Après avoir répondu aux questions des journalistes, le sénateur aujourd’hui en congé du PRG, a reçu ses colistiers et ses troupes pour lancer sa campagne et inaugurer sa permanence. L’occasion de marteler le slogan « Aimer Toulouse »… Celui qui veut rendre la clé du Capitole aux Toulousains n’est donc plus au stade de l’annonce d’une candidature. Il est cette fois-ci en campagne, avec un local, une équipe et des propositions. Les jeux sont donc bien troubles au sein de la gauche toulousaine.

 

Coralie Bombail avec Thomas Simonian

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Elections Toulouse : Jean Pierre Plancade parle de sa candidature et de son bilan

Publiée le 3 nov. 2013

Dernier candidat en date à avoir officialisé sa candidature à la mairie de Toulouse, le sénateur et conseiller général Jean Pierre Plancade revient, sur le plateau de Toulouse Infos, sur les raisons de cette candidature, sur son bilan et sur les grandes lignes de son projet. 40 minutes où Jean Pierre Plancade a répondu sans langue de bois aux questions de Guillaume Truilhé.

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Le sénateur PRG Jean-Pierre Plancade prépare une liste aux élections municipales à Toulouse

Le sénateur PRG Jean-Pierre Plancade prépare une liste aux élections municipales à Toulouse | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Info du blog "Midi-Pyrénées Politique" : le sénateur (ex-socialiste) Jean-Pierre Plancade est en train de constituer une équipe pour mener une liste autonome aux élections municipales à Toulouse en 2014. Malaise au PRG, allié de Pierre Cohen au Capitole.

 

Rififi au Parti Radical de Gauche (PRG). Jean-Michel Baylet, son président, cohabite avec un drôle d'adhérent. Un de ses élus, le sénateur de la Haute-Garonne Jean-Pierre Plancade parasite sa stratégie pour les municipales à Toulouse. Dans la ville rose, comme ailleurs dans la Région, le patron des radicaux de gauche a donné ses consignes. Face au PS, ses troupes doivent créer un rapport de force. Elles doivent marquer leur différence et, si nécessaire, leurs divergences avec les alliés socialistes.  En revanche, il n'est pas question de constituer, pour le moment, des listes. Une assemblée générale statutaire du PRG 31, réuni samedi matin, a maintenu cette ligne. Jean-Pierre Plancade n'est pas de cet avis.

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